viernes, 22 de noviembre de 2024

jueves, 24 de octubre de 2024

La chanson du mois: Naps, La kiffance


La kiffance:  sentiment très positif qu'une personne éprouve quand elle fait quelque chose qu'elle apprécie, la sensation produite par quelque chose de kiffant.

Verbe "kifer": Prendre du plaisir. Sa musique me fait kifer. ;Apprécier, aimer bien.

martes, 11 de junio de 2024

Le patrimoine bilbilitain... en français ! Visite du Saint-Sépulcre à Calatayud


Hier un groupe de vingt étudiants de français de l'École Officielle de Langues de Calatayud a visité la basilique du Saint-Sépulcre de Calatayud... en français !


Cette activité s'inscrit dans une démarche ACTIONELLE de l'enseignement des langues égrangères: agir en langue étrangère pour l'acquéirir.


Impressionnant ! (Regarde bien... 😉)




viernes, 24 de mayo de 2024

La chanson de la semaine: Zaz, Les passants

 


Les passants passantJ'passe mon temps à les regarder penserLeurs pas pressés dans leur corp léséLeur passé se dévoile dans les pas sans se soucierQue, suspicieuse, à l'affût, je perçois le jeu de panLeur visage comme des masques me fait l'effet répugnantQue faire semblantC'est dans l'air du temps
Passe, passe, passeraLa dernière resteraPasse, passe, passeraLa dernière restera
L'enfant n'est fait que de fêtesLe fait est que l'effet se reflète à sa capacité de prendre le fait tel qu'il estSans se référer à un système de pensée dans sa têteL'automne déjà, c'était l'été hier encoreLe temps me surprend semble s'accélérerLes chiffres de mon âgeM'amènent vers ce moi rêvé
Passe, passe, passeraLa dernière resteraPasse, passe, passeraLa dernière restera
Chaque mois se joue dans des cycles différentsC'est marrant ces remous qui m'animent à travers le temps d'un état à un autreJ'oscille inexorablementPar les temps je cours à l'équilibreChaque jugement sur les gens me donne la direction à suivreSur ces choses en moi à changerQui m'empêchent d'être libre
Les voix se libèrent et s'exposent dans les vitrines du monde en mouvementLes corps qui dansent en osmoseGlissent, tremblent, se confondent et s'attirent irrésistiblementPar les temps je cours à l'expressionChaque émotion ressentie me donne envie d'exprimer les non−ditsEt que justice soit faiteDans nos pauvres vies endormies
Passe, passe, passeraLa dernière resteraPasse, passe, passeraLa dernière restera


viernes, 10 de mayo de 2024

La chanson de la semaine: "Respire", de Gaël Faye


RespireRespireRespireEspère
Encore l'insomnie, sonnerie du matinLe corps engourdi, toujours endormi, miroir, salle de bainTriste face à face, angoisse du réveilReflet dans la glace, les années qui passent ternissent le soleil (Ok)Aux flashs d'infos, les crises, le chômage, la fonte des glaces, les particules finesCourir après l'hеure, les rames bondéеs, les bastons d'regards, la vie c'est l'usine, hamster dans sa rouePetit chef, grand bourreauFaire la queue partout, font la gueule partout, la vie c'est robot
T'as le souffle court (respire)Quand rien n'est facile (respire)Même si tu te perds (respire)Et si tout empire (espère)
T'as le souffle court (respire)Quand rien n'est facile (respire)Même si tu te perds (respire)Et si tout empire (espère)
Encore fatigué, la cloche du midiLe corps assommé, toujours épuisé, les masques sont misTriste face à face, poursuite du bonheurReflet dans la glace, les années qui passent flétrissent les fleurs (Ok)Les écrans, le bruit, l'argent, les crédits, les phrases assassines, les cons, les cancersLe temps qui s'écoule, le vide qui se fait, le silence épais, la vie c'est la guerreTourner dans l'tambourAmour placéboFaire semblant pour tout, c'est violent partout, la vie c'est Rambo
T'as le souffle court (respire)Quand rien n'est facile (respire)Même si tu te perds (respire)Et si tout empire (espère)
T'as le souffle court (respire)Quand rien n'est facile (respire)Même si tu te perds (respire)Et si tout empire (espère)
Les yeux ouverts, ne trouve pas l'sommeil, dans le lit tourne tout l'tempsLes phares des voitures balayent le plafond de leurs ombres dansantesLa nuit étouffe, la chaleur est lourde, l'orage est en suspensOù sont les rêves, où sont nos rêves d'enfantsS'échapper, déserter les rangsS'évader des tapis roulantsChercher le silence et l'erranceRaccrocher, trouver sa cadenceSe foutre des codes, des routines étroitesQuitter son rôle, les cases et les boîtesNe pas craquer, claquer, cramerDesserre ton col pour respirer
T'as le souffle court (respire)Quand rien n'est facile (respire)Même si tu te perds (respire)Et si tout empire (espère)
T'as le souffle court (respire)Quand rien n'est facile (respire)Même si tu te perds (respire)Et si tout empire (espère)
RespireRespireRespireEspère
T'as le souffle court (respire)Quand rien n'est facile (respire)Même si tu te perds (respire)Et si tout empireEspère


 

jueves, 2 de mayo de 2024

La chanson de la semaine: Kendji Girac, Andalouse

 


Tu viens le soirDanser sur des airs de guitaresEt puis tu bougesTes cheveux noirs, tes lèvres rougesTu te balancesLe reste n'a pas d'importanceComme un soleilTu me brûles et me réveillesTu as dans les yeux, le sud et le feuJe t'ai dans la peauBaila, baila, oh
Toi, toi, ma belle AndalouseAussi belle que jalouseQuand tu danses, le temps s'arrêteJe perds le nord, je perds la têteToi, ma belle EspagnoleQuand tu bouges tes épaulesJe n'vois plus le monde autourC'est peut-être ça l'amour
Des airs d'orient (baila)Le sourire et le cœur brûlantRegard ébèneJ'aime te voir bouger comme une reineTon corps ondule (baila)Déjà mes pensées se bousculentComme la lumière (baila)Il n'y a que toi qui m'éclaireTu as dans la voix, le chaud et le froidJe t'ai dans la peauBaila, baila, oh
Toi, toi, ma belle AndalouseAussi belle que jalouseQuand tu danses, le temps s'arrêteJe perds le nord, je perds la têteToi, ma belle EspagnoleQuand tu bouges tes épaulesJe n'vois plus le monde autourC'est peut-être ça l'amour
Oh-oh, yé-yé-yé, oh-oh(Ma belle Andalouse)Oh-oh, yé-yé-yé, oh-oh(Dos, tres, baila)
Toi, toi, ma belle AndalouseAussi belle que jalouseQuand tu danses, le temps s'arrêteJe perds le nord, je perds la têteToi, ma belle EspagnoleQuand tu bouges tes épaulesJe n'vois plus le monde autourC'est peut-être ça l'amour
Toi, toi, ma belle AndalouseAussi belle que jalouseQuand tu danses, le temps s'arrêteJe perds le nord, je perds la têteToi, ma belle EspagnoleQuand tu bouges tes épaulesJe n'vois plus le monde autourC'est peut-être ça l'amour


viernes, 19 de enero de 2024

À Paris en chansons: 🪗 Yves Montand, À Paris

 


À ParisQuand un amour fleuritÇa fait pendant des semainesDeux coeurs qui se sourientTout ça parce qu'ils s'aimentÀ Paris
Au printempsSur les toits les girouettesTournent et font les coquettesAvec le premier ventQui passe indifférentNonchalant
Car le ventQuand il vient à ParisN'a plus qu'un seul souciC'est d'aller musarderDans tous les beaux quartiersDe Paris
Le soleilQui est son vieux copainEst aussi de la fêteEt comme deux collégiensIls s'en vont en goguetteDans Paris
Et la main dans la mainIls vont sans se frapperRegardant en cheminSi Paris a changé
Y'a toujoursDes taxis en maraudeQui vous chargent en fraudeAvant le stationnementOù y'a encore l'agentDes taxis
Au caféOn voit n'importe quiQui boit n'importe quoiQui parle avec ses mainsQu'est là depuis le matinAu café
Y'a la SeineA n'importe quelle heureElle a ses visiteursQui la regardent dans les yeuxCe sont ses amoureuxÀ la Seine
Et y'a ceuxCeux qui ont fait leur nidsPrès du lit de la SeineEt qui se lavent à midiTous les jours de la semaineDans la Seine
Et les autresCeux qui en ont assezParce qu'ils en ont vu de tropEt qui veulent oublierAlors y se jettent à l'eauMais la Seine
Elle préfèreVoir les jolis bateauxSe promener sur elleEt au fil de son eauJouer aux caravellesSur la Seine
Les ennuisY'en a pas qu'à ParisY'en a dans le monde entierOui mais dans le monde entierY'a pas partout ParisVoilà l'ennui
À ParisAu quatorze juilletÀ la lueur des lampionsOn danse sans arrêtAu son de l'accordéonDans les rues
Depuis qu'à parisOn a pris la BastilleDans tous les faubourgsEt chaque carrefour,Il y a des garsEt il y a des fillesQui, , sans arrêt,Sur les pavésNuit et jour,Font des toursEt des toursA Paris !